Photos Jean-Paul Azam
Bienvenue sur le site officiel de l'Association des Amis de Nicolaï Greschny
Nicolaï Greschny est un fresquiste et peintre d'icônes du XXe siècle né en Estonie en 1912 et décédé en 1985. Installé à Marsal, dans le Tarn près d'Albi, il a peint plus d'une centaine de fresques, principalement sur les murs d'églises situées dans le sud et le sud-ouest de la France.

L'association des Amis de Nicolaï Greschny oeuvre pour la sauvegarde et la promotion de son travail. N'hésitez pas à parcourir les différentes rubriques du site où vous trouverez de nombreuses informations sur l'artiste, sa vie et son oeuvre mais également sur nos actions.

Nous éditons régulièrement une lettre d'information papier (vous pouvez d'ailleurs retrouver les anciens numéros en en cliquant içi) et nous diffusons également une newsletter par voie électronique.
Si vous avez une question ou souhaitez nous faire part de remarques ou suggestions ou si vous voulez nous laisser vos coordonnées pour recevoir les lettres d'information, vous pouvez utiliser le formulaire de notre page contact.

AGENDA


2018

  • mer
    21
    Fév
    2018

    Conférence

    20H30 - Auditorium Dom Vaysette, Gaillac

    Venez assister à la conférence « Les fresques de Nicolaï Greschny dans l’agglomération Gaillac-Graulhet » par Micha Greschny à l’auditorium Dom Vaysette, 3 Rue Cavaillé Coll, à Gaillac (81600)

  • jeu
    08
    Mar
    2018
    dim
    11
    Mar
    2018

    Fest. Int. du Film sur les Métiers d’Art

    Montreuil (Seine Saint-Denis)

    Pour sa 11ème édition, le festival prend encore plus d’ampleur et vous promet, outre trois jours de projection au cinéma Le Méliès, un vaste programme de rencontres avec des réalisateurs et des créateurs, des ateliers, une exposition, des concerts et bien d’autres rendez-vous.
    Projection du film « Nicolaï Greschny, une affaire de famille » le 10 mars, suivie d’un débat avec Vladimir Kozlov, réalisateur, et Micha Greschny.

  • sam
    30
    Juin
    2018

    La Nuit des Églises

    Église d'Ardus - Lamothe-Capdeville (82) - 21h

    Pour la Nuit des Églises qui aura lieu le 30 juin 2018, le Tarn-et-Garonne met les fresques de Nicolaï Greschny à l’honneur. Lumière sur la fresque néobyzantine et projection du film « Nicolaï Greschny, une affaire de famille ».

Commander le livre et le dvd

Bonjour à tous,

Si vous souhaitez en savoir plus sur Nicolaï Greschny et son oeuvre, vous pouvez vous procurer le livre Nicolaï Greschny, des Fresques aux Icônes, nouvelle édition 2019 éditée par les Éditions Vent Terral et le DVD de Vladimir Koslov Nicolaï Greschny, Une affaire de Famille édité par À Propos Productions (2013).

couverture livre et dvd pour cela rien de plus simple :

Pour le livre, vous pouvez le commander directement sur le site des Éditions Vent Terral, au prix de 24€ plus port.

Pour le DVD, il est disponible directement auprès de l’association au prix de 20€ (+2€ de port). Il vous suffit de nous envoyer un courrier avec votre nom et adresse accompagné de votre réglement à l'ordre de l'Association des Amis de Nicolaï Greschny à l'adresse suivante :

Les Amis de Nicolaï Greschny
La Mauriné
81430 Marsal

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Commander le livre et le dvd

Bonjour à tous,

Si vous souhaitez en savoir plus sur Nicolaï Greschny et son oeuvre, vous pouvez vous procurer le livre Nicolaï Greschny, des Fresques aux Icônes, nouvelle édition 2019 éditée par les Éditions Vent Terral et le DVD de Vladimir Koslov Nicolaï Greschny, Une affaire de Famille édité par À Propos Productions (2013).

pour cela rien de plus simple :

Pour le livre, vous pouvez le commander directement sur le site des Éditions Vent Terral, au prix de 24€ plus port.

Pour le DVD, il est disponible directement auprès de l’association au prix de 20€ (+2€ de port). Il vous suffit de nous envoyer un courrier avec votre nom et adresse accompagné de votre réglement à l'ordre de l'Association des Amis de Nicolaï Greschny à l'adresse suivante :

Les Amis de Nicolaï Greschny
La Mauriné
81430 Marsal


couverture livre et dvd

Voyage à Tallinn

A l’occasion d’un voyage privé, un groupe d’albigeois s’est rendu à Tallinn (Estonie), la ville natale de Nicolaï Greschny.
Si la maison où il naquit est difficile à trouver après tous les bouleversements de l’histoire, ni la Bibliothèque Nationale d’Estonie, ni l’ambassade de France ne connaissaient Nicolaï Greschny et son œuvre.

voyage-en-estonie
Le livre et le DVD ont été remis aux représentants de la Bibiothèque Nationale d’Estonie et de l’Institut Français à Tallinn

C’est par un contact via internet que les rendez vous ont été pris avec Mme Katre Riisalu, directrice du secteur des beaux arts de la Bibliothèque Nationale estonienne.

Notre délégation a pu visiter une grande partie de l’édifice avant de remettre un exemplaire du livre « Des fresques aux icônes » ainsi que le DVD souvent primé, réalisé par Vladimir Koslov voici trois ans.
L’Institut Français d’Estonie, organisme national qui diffuse la culture française dans les pays étrangers a également bénéficié des mêmes documents remis à Marje Kussmik.

Un exemplaire du livre a été aussi remis à M. Michel Raineri, Ambassadeur de France et auteur d’un livre consacré aux « Icônes miraculeuses de Biélorussie ».

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Voyage à Tallinn

A l’occasion d’un voyage privé, un groupe d’albigeois s’est rendu à Tallinn (Estonie), la ville natale de Nicolaï Greschny.
Si la maison où il naquit est difficile à trouver après tous les bouleversements de l’histoire, ni la Bibliothèque Nationale d’Estonie, ni l’ambassade de France ne connaissaient Nicolaï Greschny et son œuvre.

voyage-en-estonie
Le livre et le DVD ont été remis aux représentants de la Bibiothèque Nationale d’Estonie et de l’Institut Français à Tallinn

C’est par un contact via internet que les rendez vous ont été pris avec Mme Katre Riisalu, directrice du secteur des beaux arts de la Bibliothèque Nationale estonienne.

Notre délégation a pu visiter une grande partie de l’édifice avant de remettre un exemplaire du livre « Des fresques aux icônes » ainsi que le DVD souvent primé, réalisé par Vladimir Koslov voici trois ans.
L’Institut Français d’Estonie, organisme national qui diffuse la culture française dans les pays étrangers a également bénéficié des mêmes documents remis à Marje Kussmik.

Un exemplaire du livre a été aussi remis à M. Michel Raineri, Ambassadeur de France et auteur d’un livre consacré aux « Icônes miraculeuses de Biélorussie ».

Jean-Marie Salson

Notre association a perdu l’un de ses membres les plus actifs et la chapelle de Treize-Pierres est désormais orpheline.

Le 22 février dernier, Jean-Marie Salson est terrassé alors qu’il se prépare à sa sortie quotidienne, à l’âge de 85 ans.

jean marie salson

Après des études au petit séminaire d’Espalion, puis à la faculté de Sciences de Toulouse, il devient enseignant. Ses compétences et sa valeur l’ont amené à la direction des collèges de Castelsarrasin puis de Caussade. En 1953 il épouse Jeanine qui lui donne 4 enfants. A la retraite il se retire à Villefranche-de-Rouergue et met son temps libre au service de recherches historiques, et des fresques de la chapelle de Treize Pierres. Par un commentaire étayé, il permet à chaque visiteur de s’imprégner de ce message de Foi, cette foi si profonde qui correspond à ses convictions intimes.

Sa discrétion, ses talents de conteur et de pédagogue font de Jean Marie Salson un ardent défenseur de la cause « Greschny » lui qui est né le 1er janvier 1929, à Melvieu, autre haut-lieu du talent du fresquiste.

Lors de ses obsèques son petit fils a fait appel à Péguy pour souligner l’unité d’une vie.

« Un homme de chez nous a fait jaillir,
Depuis le ras du sol jusqu’au pied de la croix,
Plus haut que tous les saints, plus haut que tous les rois,
La flèche irréprochable et qui ne peut faillir.

C’est la gerbe et le blé qui ne périra point
Qui ne fanera point au soleil de septembre,
Qui ne gèlera pointaux rigueurs de décembre,
C’est votre serviteur et c’est votre témoin. »

Jean-Marie évoquait souvent un tragique grec :
« Pour savoir si un homme a été heureux dans sa vie, il faut attendre qu’il soit mort »

Aujourd’hui, nous pouvons dire qu’à travers sa vie de chrétien, avec sa famille et à travers ses engagements, Jean-Marie Salson a été heureux.
P.B.

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Jean-Marie Salson

Notre association a perdu l’un de ses membres les plus actifs et la chapelle de Treize-Pierres est désormais orpheline.

Le 22 février dernier, Jean-Marie Salson est terrassé alors qu’il se prépare à sa sortie quotidienne, à l’âge de 85 ans.

jean marie salson

Après des études au petit séminaire d’Espalion, puis à la faculté de Sciences de Toulouse, il devient enseignant. Ses compétences et sa valeur l’ont amené à la direction des collèges de Castelsarrasin puis de Caussade. En 1953 il épouse Jeanine qui lui donne 4 enfants. A la retraite il se retire à Villefranche-de-Rouergue et met son temps libre au service de recherches historiques, et des fresques de la chapelle de Treize Pierres. Par un commentaire étayé, il permet à chaque visiteur de s’imprégner de ce message de Foi, cette foi si profonde qui correspond à ses convictions intimes.

Sa discrétion, ses talents de conteur et de pédagogue font de Jean Marie Salson un ardent défenseur de la cause « Greschny » lui qui est né le 1er janvier 1929, à Melvieu, autre haut-lieu du talent du fresquiste.

Lors de ses obsèques son petit fils a fait appel à Péguy pour souligner l’unité d’une vie.

« Un homme de chez nous a fait jaillir,
Depuis le ras du sol jusqu’au pied de la croix,
Plus haut que tous les saints, plus haut que tous les rois,
La flèche irréprochable et qui ne peut faillir.

C’est la gerbe et le blé qui ne périra point
Qui ne fanera point au soleil de septembre,
Qui ne gèlera pointaux rigueurs de décembre,
C’est votre serviteur et c’est votre témoin. »

Jean-Marie évoquait souvent un tragique grec :
« Pour savoir si un homme a été heureux dans sa vie, il faut attendre qu’il soit mort »

Aujourd’hui, nous pouvons dire qu’à travers sa vie de chrétien, avec sa famille et à travers ses engagements, Jean-Marie Salson a été heureux.
P.B.

Restauration de Pratlong

Les travaux ont commencé
Suite aux événements du 8 août 1944 et au vœu du Père Gilbert Cugnasse, l’ancien pigeonnier-chenil de la maison de Maître de Pratlong est devenu une chapelle consacrée à Sainte Thérèse de Lisieux. On y trouve un autel ainsi qu’une fresque peinte en 1947 par Nicolas Greschny.

Elle représente au plafond, 4 Archanges, sur les murs, le visage du Christ sur le voile de Sainte Véronique, Saint Jean Baptiste, Saint Louis, la Sainte Vierge, le Christ en Gloire et Sainte Thérèse. Plus bas, sont représentés plusieurs élèves qui étaient au Petit Séminaire Saint Louis. Enfin, la scène du fait historique du 8 août 1944 se trouve sur l’un des côtés de la porte d’entrée.

Les parties basses enterrées dans le sol, ont été gravement altérées, dégradées par le ruissellement des eaux de la montagne. Des parties intérieures ou extérieures cimentées sont venues au fil du temps empêcher une respiration des murs, qu’il faut à nouveau permettre.

Le diocèse d’Albi propriétaire du lieu, l’association des Anciens Elèves de Saint-Louis de Pratlong et l’école d’évangélisation Jeunesse Lumière ont pris conscience de l’urgence à réhabiliter ce lieu de mémoire, ce patrimoine artistique et historique. Une campagne de mobilisation a été menée : appels dans les églises, relayés par la presse locale, des concerts, etc… Tout cela, grâce à l’action infatigable du Père Claude Cugnasse, a suscité un extraordinaire élan en faveur de ce projet. Des centaines de donateurs-mécènes ont permis grâce à leur générosité de couvrir le budget de ce chantier désormais en marche. Il est touchant de voir ce profond attachement à ce lieu de la montagne dans la mémoire principalement des Tarnais mais aussi de personnes de toute la France ! Que tous soient chaleureusement remerciés : c’est leur restauration !

restauration de pratlong

Du 1er au 4 mars, Marie-Lys de Castelbajac, restauratrice-conservatrice, est intervenue sur le site pour la phase dite de ‘consolidation’ avec son neveu André. Il s’agit de préparer les fresques pour les renforcer avec injection de consolidants, afin de fixer les parties fragilisées ; consolider le bois altéré du plafond ; faire divers tests et essaies de nettoyage pour la phase de restauration proprement dite.

Cela va aussi permettre à une entreprise de pouvoir intervenir pour permettre au bâtiment de ‘respirer ‘ à nouveau tout en étant bien protégé des intempéries : enlever le cimentage intempestif qui bloque l’évacuation de l’humidité et refaire un crépi à la chaux traditionnelle. Remercions en cela les conseils avisés de Patrick Gironnet, Architecte des Bâtiments de France du Tarn, découvrant ce site avec grand intérêt.

Après la réalisation de ces travaux, viendra la phase ultime de restauration de la fresque, probablement durant l’été 2016. Un important chantier, qui sera long et minutieux. Il redonnera à cette chapelle ces belles couleurs originelles et permettra de présenter ce lieu de mémoire aux futures générations, sous le regard bienveillant de Sainte Thérèse de Lisieux protectrice de Pratlong !

restauration de pratlong

À la recherche de photos
Des photos seraient une aide précieuse pour la restauratrice Marie-Lys de Castelbajac concernant les parties disparues des fresques. Les personnes qui auraient des clichés des années 1950/60/70 de l’intérieur de la chapelle Sainte Thérèse et plus particulièrement du bas des fresques représentant les élèves du Petit Séminaire à l’époque sont invitées à prendre contact avec Jean-Louis Bru au 05 63 50 41 57 ou par mail à contact@jeunesse-lumiere.com. Les photos seront scannées et bien entendu restituées.

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Restauration de Pratlong

Les travaux ont commencé
Suite aux événements du 8 août 1944 et au vœu du Père Gilbert Cugnasse, l’ancien pigeonnier-chenil de la maison de Maître de Pratlong est devenu une chapelle consacrée à Sainte Thérèse de Lisieux. On y trouve un autel ainsi qu’une fresque peinte en 1947 par Nicolas Greschny.

Elle représente au plafond, 4 Archanges, sur les murs, le visage du Christ sur le voile de Sainte Véronique, Saint Jean Baptiste, Saint Louis, la Sainte Vierge, le Christ en Gloire et Sainte Thérèse. Plus bas, sont représentés plusieurs élèves qui étaient au Petit Séminaire Saint Louis. Enfin, la scène du fait historique du 8 août 1944 se trouve sur l’un des côtés de la porte d’entrée.

Les parties basses enterrées dans le sol, ont été gravement altérées, dégradées par le ruissellement des eaux de la montagne. Des parties intérieures ou extérieures cimentées sont venues au fil du temps empêcher une respiration des murs, qu’il faut à nouveau permettre.

Le diocèse d’Albi propriétaire du lieu, l’association des Anciens Elèves de Saint-Louis de Pratlong et l’école d’évangélisation Jeunesse Lumière ont pris conscience de l’urgence à réhabiliter ce lieu de mémoire, ce patrimoine artistique et historique. Une campagne de mobilisation a été menée : appels dans les églises, relayés par la presse locale, des concerts, etc… Tout cela, grâce à l’action infatigable du Père Claude Cugnasse, a suscité un extraordinaire élan en faveur de ce projet. Des centaines de donateurs-mécènes ont permis grâce à leur générosité de couvrir le budget de ce chantier désormais en marche. Il est touchant de voir ce profond attachement à ce lieu de la montagne dans la mémoire principalement des Tarnais mais aussi de personnes de toute la France ! Que tous soient chaleureusement remerciés : c’est leur restauration !

restauration de pratlong

Du 1er au 4 mars, Marie-Lys de Castelbajac, restauratrice-conservatrice, est intervenue sur le site pour la phase dite de ‘consolidation’ avec son neveu André. Il s’agit de préparer les fresques pour les renforcer avec injection de consolidants, afin de fixer les parties fragilisées ; consolider le bois altéré du plafond ; faire divers tests et essaies de nettoyage pour la phase de restauration proprement dite.

Cela va aussi permettre à une entreprise de pouvoir intervenir pour permettre au bâtiment de ‘respirer ‘ à nouveau tout en étant bien protégé des intempéries : enlever le cimentage intempestif qui bloque l’évacuation de l’humidité et refaire un crépi à la chaux traditionnelle. Remercions en cela les conseils avisés de Patrick Gironnet, Architecte des Bâtiments de France du Tarn, découvrant ce site avec grand intérêt.

Après la réalisation de ces travaux, viendra la phase ultime de restauration de la fresque, probablement durant l’été 2016. Un important chantier, qui sera long et minutieux. Il redonnera à cette chapelle ces belles couleurs originelles et permettra de présenter ce lieu de mémoire aux futures générations, sous le regard bienveillant de Sainte Thérèse de Lisieux protectrice de Pratlong !

restauration de pratlong

À la recherche de photos
Des photos seraient une aide précieuse pour la restauratrice Marie-Lys de Castelbajac concernant les parties disparues des fresques. Les personnes qui auraient des clichés des années 1950/60/70 de l’intérieur de la chapelle Sainte Thérèse et plus particulièrement du bas des fresques représentant les élèves du Petit Séminaire à l’époque sont invitées à prendre contact avec Jean-Louis Bru au 05 63 50 41 57 ou par mail à contact@jeunesse-lumiere.com. Les photos seront scannées et bien entendu restituées.

Le vœu de Sainte-Thérèse

L’abbé Claude Cugnasse raconte ici l’histoire du vœu de la chapelle Sainte Thérèse de Pratlong dont le directeur d’alors était son propre frère, Gilbert Cugnasse. Cet entretien a été réalisé par la radio RCF Pays Tarnais à Albi.
Retrouver cet entretien en cliquant sur lire la suite

rcf

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Le vœu de Sainte-Thérèse

L’abbé Claude Cugnasse raconte ici l’histoire du vœu de la chapelle Sainte Thérèse de Pratlong dont le directeur d’alors était son propre frère, Gilbert Cugnasse. Cet entretien a été réalisé par la radio RCF Pays Tarnais à Albi.
Retrouver cet entretien en cliquant sur lire la suite

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Les fresques de St-Drézéry

Le Midi Libre annonce la sortie du livre de Daniel Bourgue consacré à l’histoire de l’église de Saint-Drézéry, petit village situé au nord-est de Montpellier. Cette église conserve de belles fresques de Nicolaï Greschny.

st-drézéry

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Les fresques de St-Drézéry

Le Midi Libre annonce la sortie du livre de Daniel Bourgue consacré à l’histoire de l’église de Saint-Drézéry, petit village situé au nord-est de Montpellier. Cette église conserve de belles fresques de Nicolaï Greschny.

st-drézéry

Les fresques d’Alban

Un reportage sur les fresques d’Alban a été réalisé par Philippe et Françoise Ploquin.
Intitulé Les œuvres magistrales de Nicolaï Greschny, il est à découvrir à cette adresse :
www.escapetdecouv.com

alban
photo P.et F. Ploquin

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Les fresques d’Alban

Un reportage sur les fresques d’Alban a été réalisé par Philippe et Françoise Ploquin.
Intitulé Les œuvres magistrales de Nicolaï Greschny, il est à découvrir à cette adresse :
www.escapetdecouv.com

alban
photo P.et F. Ploquin

ÉGLISE DE GABRIAC

Voici un témoignage adressé par Daniel Escoulen, animateur de la maison de retraite de Bozouls dans l’Aveyron, recueilli lors d’activités proposées aux résidents.

S’il est un créateur connu et apprécié dans le nord-ouest de l’Aveyron pour la fécondité de son œuvre, c’est bien Nicolaï Greschny dont les fresques ornent nombre d’édifices religieux.
À six kilomètres des Caselles, la Maison d’Accueil de Bozouls, ses travaux sont très présents, tant à l’église de Saint-Julien-de-Rodelle qu’à celle de Gabriac – ce qui nous a valu plusieurs sorties avec des résidants intéressés par un art qui s’inscrit dans la grande tradition de l’Eglise d’Orient.

Nous avons demandé à l’un d’entre eux, Jean-Louis Coupiac, lui-même originaire de Gabriac, de se remémorer sa rencontre avec cet Estonien, né en 1912 à Tallin. « J’avais 8 ans lorsque l’abbé Mouly, curé de Gabriac, fit appel à cet artiste qui souhaitait décorer la coupole et les arcades du chœur de l’église de mon village. Nicolaï Greschny cherchait, en effet, des enfants qui lui servent de modèles pour embellir la grande fresque du chœur. J’étais sous le charme de cet homme érudit qui possédait une rare connaissance des techniques des peintres anciens. Plus tard, passé mon expérience du rapport du modèle à son maître, j’appris que cet artiste, qui avait fui le régime hitlérien et vivait dans la clandestinité, avait fait l’école des Beaux-Arts, en Allemagne, avant de poursuivre des études de théologie à Toulouse. J’apprécie son approche iconographique qui échappe au culte du corps pour s’élever vers des sphères de grande pureté.
Quant à moi, à l’initiative de l’art thérapeute des Caselles, je me suis essayé à reproduire divers motifs colorés significatifs du monde des icônes. Avec elle, je souhaiterais poursuivre dans ce sens.
De plus, d’aucuns, à Gabriac même, ont pensé retrouver, pour les rassembler, toutes les personnes ayant participé à la réalisation des fresques de l’église Saint-Martial, pour partager le souvenir de moments intensément vécus sous l’œil exercé de l’artiste décédé en 1985 et qui laisse une œuvre foisonnante dispersée sur une grande partie de notre territoire.»

Propos recueillis par Daniel Escoulen

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ÉGLISE DE GABRIAC

Voici un témoignage adressé par Daniel Escoulen, animateur de la maison de retraite de Bozouls dans l’Aveyron, recueilli lors d’activités proposées aux résidents.

S’il est un créateur connu et apprécié dans le nord-ouest de l’Aveyron pour la fécondité de son œuvre, c’est bien Nicolaï Greschny dont les fresques ornent nombre d’édifices religieux.
À six kilomètres des Caselles, la Maison d’Accueil de Bozouls, ses travaux sont très présents, tant à l’église de Saint-Julien-de-Rodelle qu’à celle de Gabriac – ce qui nous a valu plusieurs sorties avec des résidants intéressés par un art qui s’inscrit dans la grande tradition de l’Eglise d’Orient.

Nous avons demandé à l’un d’entre eux, Jean-Louis Coupiac, lui-même originaire de Gabriac, de se remémorer sa rencontre avec cet Estonien, né en 1912 à Tallin. « J’avais 8 ans lorsque l’abbé Mouly, curé de Gabriac, fit appel à cet artiste qui souhaitait décorer la coupole et les arcades du chœur de l’église de mon village. Nicolaï Greschny cherchait, en effet, des enfants qui lui servent de modèles pour embellir la grande fresque du chœur. J’étais sous le charme de cet homme érudit qui possédait une rare connaissance des techniques des peintres anciens. Plus tard, passé mon expérience du rapport du modèle à son maître, j’appris que cet artiste, qui avait fui le régime hitlérien et vivait dans la clandestinité, avait fait l’école des Beaux-Arts, en Allemagne, avant de poursuivre des études de théologie à Toulouse. J’apprécie son approche iconographique qui échappe au culte du corps pour s’élever vers des sphères de grande pureté.
Quant à moi, à l’initiative de l’art thérapeute des Caselles, je me suis essayé à reproduire divers motifs colorés significatifs du monde des icônes. Avec elle, je souhaiterais poursuivre dans ce sens.
De plus, d’aucuns, à Gabriac même, ont pensé retrouver, pour les rassembler, toutes les personnes ayant participé à la réalisation des fresques de l’église Saint-Martial, pour partager le souvenir de moments intensément vécus sous l’œil exercé de l’artiste décédé en 1985 et qui laisse une œuvre foisonnante dispersée sur une grande partie de notre territoire.»

Propos recueillis par Daniel Escoulen

DÉPÊCHE AFP

Voici l’intégralité de la dépêche AFP qui a servi pour les articles cités dans la news précédente :

LES GRESCHNY, DE L’ART BYZANTIN DANS DES DIZAINES D’ÉGLISES DE FRANCE
Albi (France) – 11 avril 2015 07:43
AFP (Béatrice KHADIGE)

Ils sont fresquistes et iconographes de père en fils depuis le XVIe siècle. Nicolaï Greschny, né en Estonie et mort dans le Tarn après avoir fui le nazisme à travers l’Europe, a imprégné des dizaines d’églises en France d’art byzantin, avant de céder son pinceau à Michaël.

Nicolaï Greschny, décédé en 1985 à l’âge de 73 ans, a laissé derrière lui une oeuvre monumentale, toute imprégnée des Vieux croyants (orthodoxes) russes, dont son père était issu, tandis que sa mère catholique balte, était d’origine allemande.
Il a laissé un patrimoine de 10.000 mètres carrés de fresques sur 87 chantiers répertoriés dans 27 départements, qu’une association des amis du peintre s’occupe de faire visiter et d’entretenir. Sans compter ses icônes, un art dans lequel il est considéré comme un maître.

« Les gens viennent vers moi pour qu’on parle de mon père », dit Michaël, quinquagénaire, qui perpétue la tradition avec une spécialité supplémentaire: la bijouterie qui l’a fait travailler pendant des années pour Fabergé à Paris.
Dès l’âge de quatre ans, Michaël avait déjà le pinceau à la main et devait suivre pas à pas les enseignements de son père. « Je ne peux pas dire qu’il me forçait mais si je faisais autre chose, je perdais mon temps », se souvient-il.
Nicolaï Greschny a aussi transmis son savoir à de jeunes étudiants inscrits à ses cours à la Maurinié, son domaine construit sur de vieilles pierres à quelque 6 km d’Albi. Dans cet ensemble de bâtiments qu’il a lui-même en partie reconstruits, une chapelle a été érigée, faute de l’église qu’il rêvait de construire quand il était gosse, explique Michaël, héritier du domaine avec sa famille.

A l’intérieur, une collection de bénitiers, des statues anciennes, divers objets de culte et de grandes fresques et icônes réalisées par toute la famille.

Une foi inébranlable

Nicolaï Greschny passait au mieux pour un illuminé, après de longues études de théologie, au pire pour un fou. Cet homme qui voulait vivre d’abord comme un moine ou devenir prêtre « avait une foi inébranlable », selon un de ses plus proches amis, Alain Catalo.

Et la première fois que Marie-Thérèse, sa future épouse âgée aujourd’hui de 93 ans, l’avait rencontré, elle s’était « demandée qu’est-ce que c’est que cet oiseau? », d’autant qu’il passait sa vie en short, été comme hiver, quelles que soient les circonstances.

L’histoire de ce peintre infatigable c’est aussi l’histoire de l’Europe: sa famille a fui Tallinn, sous emprise russe, lors de la révolution de 1917, jusqu’en Silésie. Entre ses études théologiques, les beaux-arts, la résistance et sa tête mise à prix par les nazis, Nicolaï a ensuite traversé le Vieux continent jusqu’en France avec le soutien des jésuites, ses mentors religieux.
Mais il n’a pu échapper aux camps d’internement dont celui d’Argelès-sur-Mer qu’il a réussi à fuir pour se réfugier de monastère en monastère. Il y offrait ses services de fresquiste contre le gîte et le couvert.

Précédé par sa réputation, après la guerre, Nicolaï Greschny a multiplié les chantiers. A chaque fois, dans chaque église, il insistait pour immortaliser certains habitants sur ses fresques et s’était même parfois représenté lui-même en short de travail.
L’art de la fresque consiste à dessiner et oxyder de différentes couleurs un mur couvert d’enduit encore frais. C’est à peu près la même chose pour l’icône. « Il y a cette notion de lumière rayonnante qui est très importante », explique Michaël.

Vers la fin de sa vie, Nicolaï Greschny a préparé un dernier grand chantier, les Rosières en 1983. Trop faible, il a chargé Michaël de l’exécuter. « C’était une première. J’avais 24 ans, témoigne le fils. Son angoisse était que cette tradition soit perdue. Avec ce chantier exécuté, il est parti rassuré », se souvient-il.

Aujourd’hui, Michaël prépare son prochain chantier: le dôme de l’église chaldéenne de Sarcelles. Tout comme son père, il a apporté sa touche à nombre d’édifices religieux de la région, dont l’église de Nages (Tarn) ou celle de Villefranche-d’Albigeois où il a peint d’immense panneaux.

La Maurinié aujourd’hui est un lieu d’accueil. Michaël y donne aussi des cours et sa mère et son épouse, elles-mêmes peintres, aident à perpétuer la tradition. Mais il « n’est pas sûr qu’au moins un de ses deux fils » prendra la suite.

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DÉPÊCHE AFP

Voici l’intégralité de la dépêche AFP qui a servi pour les articles cités dans la news précédente :

LES GRESCHNY, DE L’ART BYZANTIN DANS DES DIZAINES D’ÉGLISES DE FRANCE
Albi (France) – 11 avril 2015 07:43
AFP (Béatrice KHADIGE)

Ils sont fresquistes et iconographes de père en fils depuis le XVIe siècle. Nicolaï Greschny, né en Estonie et mort dans le Tarn après avoir fui le nazisme à travers l’Europe, a imprégné des dizaines d’églises en France d’art byzantin, avant de céder son pinceau à Michaël.

Nicolaï Greschny, décédé en 1985 à l’âge de 73 ans, a laissé derrière lui une oeuvre monumentale, toute imprégnée des Vieux croyants (orthodoxes) russes, dont son père était issu, tandis que sa mère catholique balte, était d’origine allemande.
Il a laissé un patrimoine de 10.000 mètres carrés de fresques sur 87 chantiers répertoriés dans 27 départements, qu’une association des amis du peintre s’occupe de faire visiter et d’entretenir. Sans compter ses icônes, un art dans lequel il est considéré comme un maître.

« Les gens viennent vers moi pour qu’on parle de mon père », dit Michaël, quinquagénaire, qui perpétue la tradition avec une spécialité supplémentaire: la bijouterie qui l’a fait travailler pendant des années pour Fabergé à Paris.
Dès l’âge de quatre ans, Michaël avait déjà le pinceau à la main et devait suivre pas à pas les enseignements de son père. « Je ne peux pas dire qu’il me forçait mais si je faisais autre chose, je perdais mon temps », se souvient-il.
Nicolaï Greschny a aussi transmis son savoir à de jeunes étudiants inscrits à ses cours à la Maurinié, son domaine construit sur de vieilles pierres à quelque 6 km d’Albi. Dans cet ensemble de bâtiments qu’il a lui-même en partie reconstruits, une chapelle a été érigée, faute de l’église qu’il rêvait de construire quand il était gosse, explique Michaël, héritier du domaine avec sa famille.

A l’intérieur, une collection de bénitiers, des statues anciennes, divers objets de culte et de grandes fresques et icônes réalisées par toute la famille.

Une foi inébranlable

Nicolaï Greschny passait au mieux pour un illuminé, après de longues études de théologie, au pire pour un fou. Cet homme qui voulait vivre d’abord comme un moine ou devenir prêtre « avait une foi inébranlable », selon un de ses plus proches amis, Alain Catalo.

Et la première fois que Marie-Thérèse, sa future épouse âgée aujourd’hui de 93 ans, l’avait rencontré, elle s’était « demandée qu’est-ce que c’est que cet oiseau? », d’autant qu’il passait sa vie en short, été comme hiver, quelles que soient les circonstances.

L’histoire de ce peintre infatigable c’est aussi l’histoire de l’Europe: sa famille a fui Tallinn, sous emprise russe, lors de la révolution de 1917, jusqu’en Silésie. Entre ses études théologiques, les beaux-arts, la résistance et sa tête mise à prix par les nazis, Nicolaï a ensuite traversé le Vieux continent jusqu’en France avec le soutien des jésuites, ses mentors religieux.
Mais il n’a pu échapper aux camps d’internement dont celui d’Argelès-sur-Mer qu’il a réussi à fuir pour se réfugier de monastère en monastère. Il y offrait ses services de fresquiste contre le gîte et le couvert.

Précédé par sa réputation, après la guerre, Nicolaï Greschny a multiplié les chantiers. A chaque fois, dans chaque église, il insistait pour immortaliser certains habitants sur ses fresques et s’était même parfois représenté lui-même en short de travail.
L’art de la fresque consiste à dessiner et oxyder de différentes couleurs un mur couvert d’enduit encore frais. C’est à peu près la même chose pour l’icône. « Il y a cette notion de lumière rayonnante qui est très importante », explique Michaël.

Vers la fin de sa vie, Nicolaï Greschny a préparé un dernier grand chantier, les Rosières en 1983. Trop faible, il a chargé Michaël de l’exécuter. « C’était une première. J’avais 24 ans, témoigne le fils. Son angoisse était que cette tradition soit perdue. Avec ce chantier exécuté, il est parti rassuré », se souvient-il.

Aujourd’hui, Michaël prépare son prochain chantier: le dôme de l’église chaldéenne de Sarcelles. Tout comme son père, il a apporté sa touche à nombre d’édifices religieux de la région, dont l’église de Nages (Tarn) ou celle de Villefranche-d’Albigeois où il a peint d’immense panneaux.

La Maurinié aujourd’hui est un lieu d’accueil. Michaël y donne aussi des cours et sa mère et son épouse, elles-mêmes peintres, aident à perpétuer la tradition. Mais il « n’est pas sûr qu’au moins un de ses deux fils » prendra la suite.

DANS LA PRESSE

Après une visite de l’Agence France Presse à la Maurinié, l’agence a rédigé une info reprise par Le Nouvel Observateur et par le journal turc As Sabah :

L'obs

As Sabah

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DANS LA PRESSE

Après une visite de l’Agence France Presse à la Maurinié, l’agence a rédigé une info reprise par Le Nouvel Observateur et par le journal turc As Sabah :

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As Sabah

Yves Rouquette nous a quitté

Le monde occitan est en deuil depuis la disparation d’Yves Rouquette à son domicile de Camarès dans l’Aveyron.

Yves Rouquette

Nous perdons là une figure incontournable de la défense de notre culture ancrée sur le terrain social.


Il avait fondé la revue Viure avant d’animer le mouvement « Volem Viure al Pais », mouvement autonomiste des années 70 largement impliqué dans les luttes du Larzac puis dans les conflits sociaux dans le monde de la vigne.

Il était aussi largement impliqué sur le terrain culturel en Languedoc : maison de disque Ventadorn, Centre Interrégional de Développement de l’Occitan (Cirdoc). Auteur de recueil de poésie, de romans, de pièces de théâtre, de traductions, il a aussi participé à l’émergence des premières calandretas, écoles occitanes.
 
Il revendiquait une langue et une culture vivante dans un pays libre, autonome, qui puisse décider de son avenir, cette Occitanie qu’il portait au cœur.
A son épouse Marie Rouanet, nous disons notre amitié.

Yves tenait une chronique hebdomadaire dans La Dépêche du Midi. L’une d’elle fut consacrée à Nicolaï Greschny :

GRESCHNY, RUSSE D’OCCITANIE

Greschny, Nicolaï Greschny, vous ne le connaissez pas ? Hâtez-vous de le découvrir. Il y a bien 150 églises où il vous attend, peintes par lui à la fresque, en totalité ou en partie. Dans l’Albigeois où il vécut, dans le Biterrois où il prit femme, le nord-ouest de l’Aveyron où des prêtres, légers d’argent mais amoureux du beau, le firent travailler dans la grande tradition de l’Eglise d’Orient. C’est, je vous le garantis, pour vos yeux l’enchantement, pour votre âme de croyant ou d’agnostique la joie qui vous attendent.

Renseignez-vous à Saint-Victor-et-Melvieu, en Aveyron où l’on est fier d’avoir dans son village une de ses plus achevées réalisations. Les phylactères y parlent le latin de l’Eglise romaine et l’occitan de Saint-Victor. A l’Escapade des Raspes, on vous dira les rendez-vous qu’il ne faut pas manquer avec cet artiste singulier, moderniste et traditionnel, irréprochable théologien en images, capable de tirer parti de n’importe quelle architecture pour dire la gloire de son Dieu sur un mode aussi drôle que grave.

Avec Greschny, les murs et les voûtes chantent lyriquement, somptueusement, sans emphase, que la seule gloire de Dieu, à travers les deux Testaments, c’est l’homme vivant et debout en Jésus le fils de Marie. Depuis le premier jour du monde jusqu’à l’Eternité d’ici-bas et d’après. Un dieu beau d’être bon, indulgent, accueillant aux fils prodigues et aux ouvriers de la onzième heure, aux filles perdues et aux larrons de bonne volonté. Un dieu dont il n’y a rien à craindre et tout à espérer, mille fois plus aimable que les plus belles beautés du panthéon des Grecs.

J’avais à peine quitté l’enfance quand pour la première fois, je vis une fresque de lui dans le réfectoire d’un minuscule pensionnat de garçons à La Fouillade. Jésus y multipliait les pains et les poissons pour des enfants affamés en chemisette et en culotte courte ; les pensionnaires qu’il avait fait entrer avec leur maître de musique ensoutané, tels quels, dans le temps évangélique.

Ces garçons, c’était moi. Le peintre me faisait contemporain de Jésus. J’allais l’être constamment. A la crèche, sur les chemins de Galilée, le lac de Tibériade, les noces de Cana, le Jourdain, la Pâque, le Golgotha, chaque fois que j’entrerais dans une église enluminée par lui. Contemporain, aussi, de la fin des temps et des fêtes éternelles d’après.

Le visionnaire de l’Invisible, ce jubilant conteur, ce contemplatif toujours en travail était russe comme Roubleev, Dostoïevski, Essenine ou Pasternak. Son père était prêtre, peintre d’églises et d’icônes. Il dut fuir avec sa famille la Russie des Soviets où, dès 1918, Lénine persécutait les croyants. Avec lui, Nicolaï ne cessa plus de parcourir l’Europe : l’Autriche d’avant l’Anschluss, la Belgique avant l’invasion nazie, le nord de la France occupée, incapable de supporter les tyrans ennemis de l’homme libre.

Il voulait, lui aussi, être prêtre. A Toulouse, il étudia la théologie. Mais il entendait bien, comme dans sa Russie natale, prendre femme et avoir des enfants. L’Eglise romaine refusa de l’ordonner. Il se maria et peignit, pour 3 francs 6 sous, joyeusement, dévotement, les merveilles qui l’habitaient. Allez les voir. L’homme de peu de foi et de maigre espérance que je suis vous l’affirme : vous ne serez pas déçus.

Yves Rouquette

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Yves Rouquette nous a quitté

Le monde occitan est en deuil depuis la disparation d’Yves Rouquette à son domicile de Camarès dans l’Aveyron.

Yves Rouquette

Nous perdons là une figure incontournable de la défense de notre culture ancrée sur le terrain social.


Il avait fondé la revue Viure avant d’animer le mouvement « Volem Viure al Pais », mouvement autonomiste des années 70 largement impliqué dans les luttes du Larzac puis dans les conflits sociaux dans le monde de la vigne.

Il était aussi largement impliqué sur le terrain culturel en Languedoc : maison de disque Ventadorn, Centre Interrégional de Développement de l’Occitan (Cirdoc). Auteur de recueil de poésie, de romans, de pièces de théâtre, de traductions, il a aussi participé à l’émergence des premières calandretas, écoles occitanes.
 
Il revendiquait une langue et une culture vivante dans un pays libre, autonome, qui puisse décider de son avenir, cette Occitanie qu’il portait au cœur.
A son épouse Marie Rouanet, nous disons notre amitié.

Yves tenait une chronique hebdomadaire dans La Dépêche du Midi. L’une d’elle fut consacrée à Nicolaï Greschny :

GRESCHNY, RUSSE D’OCCITANIE

Greschny, Nicolaï Greschny, vous ne le connaissez pas ? Hâtez-vous de le découvrir. Il y a bien 150 églises où il vous attend, peintes par lui à la fresque, en totalité ou en partie. Dans l’Albigeois où il vécut, dans le Biterrois où il prit femme, le nord-ouest de l’Aveyron où des prêtres, légers d’argent mais amoureux du beau, le firent travailler dans la grande tradition de l’Eglise d’Orient. C’est, je vous le garantis, pour vos yeux l’enchantement, pour votre âme de croyant ou d’agnostique la joie qui vous attendent.

Renseignez-vous à Saint-Victor-et-Melvieu, en Aveyron où l’on est fier d’avoir dans son village une de ses plus achevées réalisations. Les phylactères y parlent le latin de l’Eglise romaine et l’occitan de Saint-Victor. A l’Escapade des Raspes, on vous dira les rendez-vous qu’il ne faut pas manquer avec cet artiste singulier, moderniste et traditionnel, irréprochable théologien en images, capable de tirer parti de n’importe quelle architecture pour dire la gloire de son Dieu sur un mode aussi drôle que grave.

Avec Greschny, les murs et les voûtes chantent lyriquement, somptueusement, sans emphase, que la seule gloire de Dieu, à travers les deux Testaments, c’est l’homme vivant et debout en Jésus le fils de Marie. Depuis le premier jour du monde jusqu’à l’Eternité d’ici-bas et d’après. Un dieu beau d’être bon, indulgent, accueillant aux fils prodigues et aux ouvriers de la onzième heure, aux filles perdues et aux larrons de bonne volonté. Un dieu dont il n’y a rien à craindre et tout à espérer, mille fois plus aimable que les plus belles beautés du panthéon des Grecs.

J’avais à peine quitté l’enfance quand pour la première fois, je vis une fresque de lui dans le réfectoire d’un minuscule pensionnat de garçons à La Fouillade. Jésus y multipliait les pains et les poissons pour des enfants affamés en chemisette et en culotte courte ; les pensionnaires qu’il avait fait entrer avec leur maître de musique ensoutané, tels quels, dans le temps évangélique.

Ces garçons, c’était moi. Le peintre me faisait contemporain de Jésus. J’allais l’être constamment. A la crèche, sur les chemins de Galilée, le lac de Tibériade, les noces de Cana, le Jourdain, la Pâque, le Golgotha, chaque fois que j’entrerais dans une église enluminée par lui. Contemporain, aussi, de la fin des temps et des fêtes éternelles d’après.

Le visionnaire de l’Invisible, ce jubilant conteur, ce contemplatif toujours en travail était russe comme Roubleev, Dostoïevski, Essenine ou Pasternak. Son père était prêtre, peintre d’églises et d’icônes. Il dut fuir avec sa famille la Russie des Soviets où, dès 1918, Lénine persécutait les croyants. Avec lui, Nicolaï ne cessa plus de parcourir l’Europe : l’Autriche d’avant l’Anschluss, la Belgique avant l’invasion nazie, le nord de la France occupée, incapable de supporter les tyrans ennemis de l’homme libre.

Il voulait, lui aussi, être prêtre. A Toulouse, il étudia la théologie. Mais il entendait bien, comme dans sa Russie natale, prendre femme et avoir des enfants. L’Eglise romaine refusa de l’ordonner. Il se maria et peignit, pour 3 francs 6 sous, joyeusement, dévotement, les merveilles qui l’habitaient. Allez les voir. L’homme de peu de foi et de maigre espérance que je suis vous l’affirme : vous ne serez pas déçus.

Yves Rouquette

Encore Bravo

Les mois se suivent et se ressemblent pour le film Nicolaï Greschny, une affaire de famille de Vladimir Kozlov.

Le festival international du film « Russia Abroad » (la Russie hors frontières) de Moscou lui a décerné son Grand Prix 2014.

Merci à Vladimir de faire découvrir ou redécouvrir le travail de Nicolaï hors de nos frontières.

trophé russia abroad

Extrait du communiqué de presse du festival (www.cinema-rp.com) :

« Le documentaire du réalisateur Vladimir Kozlov, « Nicolaï Greschny » (France 2013), raconte l’histoire de Nicolaï Greschny, l’un des artistes-fresquistes les plus originaux et talentueux du XXème siècle. Fils d’une famille d’iconographes et Vieux Croyants de la région du Dniestr, dont les racines remontent au XVIème siècle, il a peint plus de 80 églises et chapelles dans le sud de la France. Le film « Nicolaï Greschny », avec sa réalisation artistique délicate, est l’un des meilleurs exemples du cinéma documentaire. Tout dans ce film – le son, la couleur, le rythme – présente une toile unique, une matière qui transmet quelque chose d’immatériel. »

diplome russia abroad

extrait de l’article du journal « Russia Today » sur le film (http://www.russia-today.ru/new.php?i=2564)

« Il est évident que le film « Nicolas Greshny » se détache nettement des autres films en compétition, surtout par sa brillante imagerie et son style inhabituel. L’image du personnage est soigneusement construite et en même temps mise en relief avec une certaine émotion. L’émotion est également atteinte grâce au travail d’artiste de l’opérateur et aux « souvenirs » parfois conflictuels des différents personnages au sujet d’une seule et même personne. Et lui-même – Nicolaï Greschny – n’est pas seulement plein de talent, mais c’est aussi un être humain inhabituel qui sort de l’ordinaire. »

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Encore Bravo

Les mois se suivent et se ressemblent pour le film Nicolaï Greschny, une affaire de famille de Vladimir Kozlov.

Le festival international du film « Russia Abroad » (la Russie hors frontières) de Moscou lui a décerné son Grand Prix 2014.

Merci à Vladimir de faire découvrir ou redécouvrir le travail de Nicolaï hors de nos frontières.

trophé russia abroad

Extrait du communiqué de presse du festival (www.cinema-rp.com) :

« Le documentaire du réalisateur Vladimir Kozlov, « Nicolaï Greschny » (France 2013), raconte l’histoire de Nicolaï Greschny, l’un des artistes-fresquistes les plus originaux et talentueux du XXème siècle. Fils d’une famille d’iconographes et Vieux Croyants de la région du Dniestr, dont les racines remontent au XVIème siècle, il a peint plus de 80 églises et chapelles dans le sud de la France. Le film « Nicolaï Greschny », avec sa réalisation artistique délicate, est l’un des meilleurs exemples du cinéma documentaire. Tout dans ce film – le son, la couleur, le rythme – présente une toile unique, une matière qui transmet quelque chose d’immatériel. »

diplome russia abroad

extrait de l’article du journal « Russia Today » sur le film (http://www.russia-today.ru/new.php?i=2564)

« Il est évident que le film « Nicolas Greshny » se détache nettement des autres films en compétition, surtout par sa brillante imagerie et son style inhabituel. L’image du personnage est soigneusement construite et en même temps mise en relief avec une certaine émotion. L’émotion est également atteinte grâce au travail d’artiste de l’opérateur et aux « souvenirs » parfois conflictuels des différents personnages au sujet d’une seule et même personne. Et lui-même – Nicolaï Greschny – n’est pas seulement plein de talent, mais c’est aussi un être humain inhabituel qui sort de l’ordinaire. »

Rénovation

La rénovation de l’église Saint-Pierre de Lescure d’Albigeois (Tarn) vient de s’achever. La Dépêche consacre un article à son inauguration.

Saint Pierre

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Rénovation

La rénovation de l’église Saint-Pierre de Lescure d’Albigeois (Tarn) vient de s’achever. La Dépêche consacre un article à son inauguration.

Saint Pierre

Nouvelles récompenses

Encore une pluie de récompenses pour le film de Vladimir Kozlov « Nicolaï Greschny, une affaire de famille » :
prix farel

Au Festival International du film à thématique religieuse « Prix Farel » de Neuchatel en Suisse, le film a reçu la mention du jury dans la section longs métrages (http://farel.tv) et au Festival Orthodoxe « Pokrov » de Kiev un Diplôme Spécial du Jury lui a été attribué pour « la fidelité aux traditions orthodoxes ». Félicitations !

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Nouvelles récompenses

Encore une pluie de récompenses pour le film de Vladimir Kozlov « Nicolaï Greschny, une affaire de famille » :
prix farel

Au Festival International du film à thématique religieuse « Prix Farel » de Neuchatel en Suisse, le film a reçu la mention du jury dans la section longs métrages (http://farel.tv) et au Festival Orthodoxe « Pokrov » de Kiev un Diplôme Spécial du Jury lui a été attribué pour « la fidelité aux traditions orthodoxes ». Félicitations !

Journée portes ouvertes

Dans le cadre des journées « portes ouvertes » de la Maurinié, des expositions de courtes durées sont maintenant organisées.

Sont présentées dans l’atelier de Micha qui se transforme en lieu d’expo tout en gardant son identité de lieu de travail, des œuvres de nos amis artistes.

portes ouvertes

Durant les journées des 27 et 28 septembre, dans l’atmosphère des pigments, des dalles de broyage, et des plans de travail, ont été réunis des travaux des élèves de l’atelier.

Des icônes bien sûr, mais aussi des enluminures sur parchemin, des peintures à l’encaustique, des réalisations à la tempéra ou à l’huile etc… Des copies, mais aussi des réalisations personnelles faites avec des procédés anciens.

icones
Icônes.

Peintures à l'encaustique, icônes
Peintures à l'encaustique, icônes
Peintures à l’encaustique, icônes

Encaustique froide sur plâtre ciré et huile et dorure sur bois
Encaustique froide sur plâtre ciré et huile et dorure sur bois.

Icônes, tempéra sur bois, enluminures sur parchemin et fixés sous verre.
Icônes, tempéra sur bois, enluminures sur parchemin et fixés sous verre.

Huiles sur toiles - Serge Chluda
Huiles sur toiles – Serge Chluda

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Journée portes ouvertes

Dans le cadre des journées « portes ouvertes » de la Maurinié, des expositions de courtes durées sont maintenant organisées.

Sont présentées dans l’atelier de Micha qui se transforme en lieu d’expo tout en gardant son identité de lieu de travail, des œuvres de nos amis artistes.

portes ouvertes

Durant les journées des 27 et 28 septembre, dans l’atmosphère des pigments, des dalles de broyage, et des plans de travail, ont été réunis des travaux des élèves de l’atelier.

Des icônes bien sûr, mais aussi des enluminures sur parchemin, des peintures à l’encaustique, des réalisations à la tempéra ou à l’huile etc… Des copies, mais aussi des réalisations personnelles faites avec des procédés anciens.

icones
Icônes.

Peintures à l'encaustique, icônes
Peintures à l'encaustique, icônes
Peintures à l’encaustique, icônes

Encaustique froide sur plâtre ciré et huile et dorure sur bois
Encaustique froide sur plâtre ciré et huile et dorure sur bois.

Icônes, tempéra sur bois, enluminures sur parchemin et fixés sous verre.
Icônes, tempéra sur bois, enluminures sur parchemin et fixés sous verre.

Huiles sur toiles - Serge Chluda
Huiles sur toiles – Serge Chluda

Un ami nous a quitté

Plus connu sous le nom de peintre du silence, Francisco Bajen est décédé à Albi, la ville qui l’a accueilli en 1939, fuyant le régime franquiste. Il avait 102 ans. Longtemps proche de Nicolaï, il fut un membre fidèle de notre association jusqu’à son dernier souffle. Il apparaît d’ailleurs dans les dernières minutes du film de Vladimir Koslov.

Bagen 1

Peu de médias ont annoncé la nouvelle. Seuls quelques sites espagnols et sud américains ont évoqué cette disparition. Ici la traduction de la dépêche de la télévision vénézuélienne, Telesur :

Décédé à l’âge de 102 ans l’artiste espagnol Francisco Bajen, décrit comme le peintre du silence est mort le vendredi 29 août, dans la ville d’Albi, annonce faite par le Maire de Monestiés, village dans lequel se trouve un musée qui lui est dédié ainsi qu’à son épouse, Martine Vega. Le musée Bajen-Vega inauguré en 1999 expose près de 150 œuvres de l’artiste et de son épouse, décédée en 1974, qualifiée de dompteuse des couleurs.

Francisco Bajen se destina d’abord au dessin avant de s’orienter en 1946 vers la peinture. Poussé par ses amis, et notamment le peintre de fresques Nicolaï Greschny, il se détacha d’un style cubiste de courte durée pour les scènes de nus et la juxtaposition de couleurs.

Au cours des ans il s’orienta vers la peinture figurative et en 1953 il obtint un premier prix au Salon de Deauville,  avant d’exposer dans d’autres pays européens, jusqu’au Japon et aux États Unis.

Le site du Musée Bajen-Vega à Monestiés

Pour les hispanophones, vous pourrez trouver des informations complémentaires sur sa vie sur le site www.bierzotv.com

Bajen 2

Bajen 3

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Un ami nous a quitté

Plus connu sous le nom de peintre du silence, Francisco Bajen est décédé à Albi, la ville qui l’a accueilli en 1939, fuyant le régime franquiste. Il avait 102 ans. Longtemps proche de Nicolaï, il fut un membre fidèle de notre association jusqu’à son dernier souffle. Il apparaît d’ailleurs dans les dernières minutes du film de Vladimir Koslov.

Bagen 1

Peu de médias ont annoncé la nouvelle. Seuls quelques sites espagnols et sud américains ont évoqué cette disparition. Ici la traduction de la dépêche de la télévision vénézuélienne, Telesur :

Décédé à l’âge de 102 ans l’artiste espagnol Francisco Bajen, décrit comme le peintre du silence est mort le vendredi 29 août, dans la ville d’Albi, annonce faite par le Maire de Monestiés, village dans lequel se trouve un musée qui lui est dédié ainsi qu’à son épouse, Martine Vega. Le musée Bajen-Vega inauguré en 1999 expose près de 150 œuvres de l’artiste et de son épouse, décédée en 1974, qualifiée de dompteuse des couleurs.

Francisco Bajen se destina d’abord au dessin avant de s’orienter en 1946 vers la peinture. Poussé par ses amis, et notamment le peintre de fresques Nicolaï Greschny, il se détacha d’un style cubiste de courte durée pour les scènes de nus et la juxtaposition de couleurs.

Au cours des ans il s’orienta vers la peinture figurative et en 1953 il obtint un premier prix au Salon de Deauville,  avant d’exposer dans d’autres pays européens, jusqu’au Japon et aux États Unis.

Le site du Musée Bajen-Vega à Monestiés

Pour les hispanophones, vous pourrez trouver des informations complémentaires sur sa vie sur le site www.bierzotv.com

Bajen 2

Bajen 3

Les scouts à La Maurinié

Un article de La Depêche sur la visite des scouts et guides de France à La Maurinié où ils ont participé à l’entretien des lieux.

la depeche

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Les scouts à La Maurinié

Un article de La Depêche sur la visite des scouts et guides de France à La Maurinié où ils ont participé à l’entretien des lieux.

la depeche

La Lettre des Amis

En 2011 nous avons décidé d’éditer une lettre d’information à destination de nos adhérents afin de les tenir informés des actions initiées partout en France autour de l’oeuvre et de la personne de Nicolaï Greschny. Nous essayons de sortir au minimum 2 numéros par an en fonction de l’actualité.

lettres

vous trouverez ci dessous une série de liens vers les anciens numéros au format pdf.
si vous souhaitez recevoir les prochains numéros, vous pouvez dès à présent rejoindre notre association en remplissant le bulletin d’adhésion disponible içi.

La lettre des Amis de Nicolaï Greschny N°1 (avril 2011)

La lettre des Amis de Nicolaï Greschny N°2 (décembre 2011)

La lettre des Amis de Nicolaï Greschny N°3 (janvier 2013)

La lettre des Amis de Nicolaï Greschny N°4 (janvier 2014)

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La Lettre des Amis

En 2011 nous avons décidé d’éditer une lettre d’information à destination de nos adhérents afin de les tenir informés des actions initiées partout en France autour de l’oeuvre et de la personne de Nicolaï Greschny. Nous essayons de sortir au minimum 2 numéros par an en fonction de l’actualité.

lettres

vous trouverez ci dessous une série de liens vers les anciens numéros au format pdf.
si vous souhaitez recevoir les prochains numéros, vous pouvez dès à présent rejoindre notre association en remplissant le bulletin d’adhésion disponible içi.

La lettre des Amis de Nicolaï Greschny N°1 (avril 2011)

La lettre des Amis de Nicolaï Greschny N°2 (décembre 2011)

La lettre des Amis de Nicolaï Greschny N°3 (janvier 2013)

La lettre des Amis de Nicolaï Greschny N°4 (janvier 2014)

Revue de presse

voici quelques extraits de presse et liens vers des articles parus ces dernières semaines :

on commence avec un article paru dans La Vie le 24 avril qui met notre président à l’honneur :

la vie

Voici ensuite un reportage sur l’église St Victor de Saint-Victor-et-Melvieu à voir sur Culturebox le site culturel de FranceTV.

Enfin un article de La Depêche annonçant les portes ouvertes de ce week-end et de fin septembre :

le depêche

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Revue de presse

voici quelques extraits de presse et liens vers des articles parus ces dernières semaines :

on commence avec un article paru dans La Vie le 24 avril qui met notre président à l’honneur :

la vie

Voici ensuite un reportage sur l’église St Victor de Saint-Victor-et-Melvieu à voir sur Culturebox le site culturel de FranceTV.

Enfin un article de La Depêche annonçant les portes ouvertes de ce week-end et de fin septembre :

le depêche